Tel(le) que tu es

Dieu m’aime, Dieu t’aime

C’est le message que Jésus Christ nous a apporté de la part de Dieu lorsqu’il était sur la terre. Aujourd’hui, par la Bible, Dieu nous parle et nous adresse ce même message.

« Je t’ai aimé d’un amour éternel ; c’est pourquoi je t’attire avec bonté. » Jérémie 31. 3

Reconnaissons que très souvent ce n’est pas l’idée que nous avons de Dieu.

De nombreuses raisons nous empêchent de voir de façon juste l’amour que Dieu a pour nous, pour toi, pour moi.

Les religions ne nous mènent pas à Dieu. Elles ont été élaborées par des hommes qui ont établi des règles. Notre culture et notre éducation orientent notre façon de voir les choses. Notre esprit est-il formé à rechercher Dieu ?

Nos souffrances, nos contrariétés, l’injustice, la violence, les atrocités, nous font parfois réagir : si Dieu est amour, pourquoi permet-il cela ? Nous nous « braquons » contre Dieu sans le connaitre. Interrogeons-le et prenons le temps d’écouter sa réponse.

Si nos péchés (nos fautes et nos erreurs) pèsent sur notre conscience, ne fuyons pas Dieu. Il accorde son pardon à tous ceux qui s’approchent de lui avec repentance.

Souvent, pour fuir les réalités de la vie nous nous laissons étourdir par beaucoup d’activités, de loisirs ou de plaisirs. Dieu veut nous apporter son aide et sa paix pour affronter les jours tristes et douloureux.

Refouler la pensée qu’un jour nous devrons quitter ce monde – nous mourrons – ne changera rien au fait que tôt ou tard nous devrons rencontrer Dieu.

Ce Dieu qui nous aime, qui nous a créés, qui a créé le monde, ne nous destine pas à « une vie de misère ».

Il nous offre « une vraie vie » : heureuse, épanouie dès maintenant sur la terre (même lorsqu’il permet des difficultés) et il nous donne la certitude d’un bonheur éternel.

Dieu nous offre son amour infini
« Car Dieu a tant aimé le monde, qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » Jean 3. 16

Dieu dit : « Reviens… je ne ferai pas peser sur vous un visage irrité, car je suis bon, dit l’Éternel ; je ne garderai pas ma colère à toujours. Seulement, reconnais ton iniquité (ton péché). » Jérémie 3. 12 et 13

Le Dieu saint et juste, le Dieu créateur de toute chose, nous offre son amour, son pardon, sa grâce et la vie éternelle.

Il nous aime tous, tels que nous sommes, quels que soient nos défauts, nos fautes, nos différences, nos origines.

Un exemple de la Bible
« Jésus… fatigué du chemin, se tenait là assis sur la fontaine ; c’était environ midi. Une femme de la Samarie vient pour puiser de l’eau. Jésus lui dit : Donne-moi à boire. La Samaritaine lui dit alors : Comment ? Toi qui es Juif, tu me demandes à boire, à moi qui suis une Samaritaine ? » Jean 4. 6 à 9

Cette femme sait bien qu'elle appartient à un peuple méprisé, que ses croyances sont différentes : comment un Juif pourrait-il boire à sa cruche sans se croire souillé ? De plus, elle est celle que l'on montre du doigt à cause de sa « mauvaise vie ». Comment un homme peut-il lui parler avec tant de respect ?

Jésus n'a pas de préjugés, il ne regarde pas les gens de haut, il ne s'arrête pas aux distinctions sociales ou religieuses.

« Jésus lui répondit : Quiconque boit de cette eau-ci aura de nouveau soif ; celui qui boira de l’eau que je lui donnerai, moi, n’aura plus soif à jamais ; mais l’eau que je lui donnerai, sera en lui une fontaine d’eau jaillissant en vie éternelle. La femme lui dit : Seigneur, donne-moi cette eau, afin que je n’aie pas soif et que je ne vienne pas ici pour puiser. » Jean 4. 13 à 15

Jésus veut la libérer de sa vie triste et honteuse. Il lui pose cette question sensible :

« - Va, appelle ton mari, et viens ici. »

En présence de la compassion de Jésus, cette femme se sent en confiance. Devant lui, elle va alors reconnaître quelque chose qu’elle n’a jamais voulu dire aux autres : elle confesse à Jésus sa misère, son péché.

« La femme lui répondit : Je n’ai pas de mari. Jésus lui dit : Tu as dit la vérité… car tu as eu cinq maris, et celui que tu as maintenant n’est pas ton mari. » Jean 4. 17 et 18

Sa confession la libère et lui ouvre les yeux.

« La femme lui dit : Seigneur, je vois que tu es un prophète… Je sais que le Messie qui est appelé le Christ, vient ; quand il sera venu, lui, il nous fera tout connaître.
Jésus lui dit : Je le suis, moi qui te parle. » Jean 4. 19 à 26

Jésus ne lui adresse aucun reproche ; il connaît la souffrance de ses échecs successifs, l'angoisse et le chagrin d'une personne en butte au mépris et aux accusations.

Alors Jésus se révèle comme Celui qui SEUL apporte la délivrance dont son âme a besoin.

Cette femme prend conscience de la grandeur de Jésus et de sa grâce envers elle :

« Alors la femme laissa sa cruche et revint à la ville ; elle dit aux gens : Venez voir un homme qui m’a dit tout ce que j’ai fait ; celui-ci n’est-il pas le Christ ? » Jean 4. 28 et 29

Quel changement dans sa vie ! Quelle libération dans son cœur ! Quelle joie !

Aujourd'hui, Jésus s'approche de toi. Il a fait le plus long chemin pour te rencontrer.

Aujourd'hui, tu peux venir vers lui, quels que soient tes origines, ton passé, tes problèmes actuels ; il ne repousse personne. Il ne condamne pas, mais il met tout en lumière. Si tu lui confesses tes péchés et que tu crois qu’il est le Fils de Dieu, alors Dieu te pardonnera toutes tes fautes comme il l’a promis car : « le sang de Jésus Christ nous purifie de tout péché. » 1 Jean 1. 7

Dieu t’aime, viens à lui !

Publié le 12.10.2020


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