Tous les chemins mènent à Rome !

disait-on de l'ancien Empire Romain,

l'une des premières nations à s'équiper d'un excellent réseau routier. Plus de 80.000 kilomètres de routes, bien étudiées, très solidement construites, bien signalées par les colonnes milliaires, reliaient à la capitale les villes de quelque importance.

Tous les chemins mènent-ils à Dieu ?

Aujourd'hui, beaucoup d'hommes sont angoissés. Politique, vie sociale, affaires... partout l'inquiétude. Le besoin de sécurité est ressenti très fort. Pour trouver un abri sûr, pour aller à Dieu, quelle est la bonne route ? Les anciens chemins sont à l'abandon, bourbeux, envahis par les ronces, sans poteaux indicateurs. On a tracé une multitude de nouveaux chemins ; mais ils ne sont pas sûrs, on ne sait pas où ils mènent.

Autrefois, on avait des repères,

grâce auxquels on pouvait faire le point. Ils disparaissent, ou plutôt on les rejette. Il était entendu qu'il n'y avait qu'un seul chemin pour aller à Dieu, celui qu'indique la Bible. Maintenant, voici ce que l'on dit : le christianisme, c'est dépassé : il a trop insisté sur le péché ; il s'est trop appliqué à imposer des interdits ; il ne respecte pas notre conscience personnelle ; il ne nous traite pas en adultes responsables.

Pourtant le christianisme de la Bible, c'est la vraie réponse à notre besoin, donnée par le Dieu qui se révèle.

Il s'est révélé lui-même. Impossible de le connaître autrement. Il a révélé toute la vérité spirituelle utile, ainsi que le chemin pour aller à lui.

À la fin du XXe siècle, l'homme a-t-il surpassé la révélation divine ? Serait-il son propre dieu ? Le « Moi » s'est-il fait dieu ? S'est-il élevé assez haut,

- pour imaginer dieu et faire sans le vrai Dieu ?

- pour se comprendre lui-même ?

- pour se faire son idée personnelle de l'au-delà et tracer son propre itinéraire spirituel dans la complexité des chemins qui s'offrent à lui : misérables déviations du christianisme, orientalisme vague, ésotérisme, voyance, tables tournantes, astrologie, etc. ?

- pour élaborer un code de ce qui est permis et de ce qui ne l'est pas ? (les infractions à ce code ne sont plus que des « fautes morales », fiction par laquelle on voudrait se débarrasser de la volonté de Dieu — le bien — et du péché).

L'homme change ;

son cerveau fourmille d'idées et invente des chemins nouveaux. Ce n'est pas un réseau de routes qu'il a imaginé, c'est un labyrinthe : il s'y perd ! Il se croit maître ; il oublie son état de créature dépendante.

Dieu ne change pas ;

il est le Dieu éternel, le seul Dieu ; il est une personne, mais il est esprit ; il est le Dieu de majesté, le Dieu tout-puissant, le Créateur de l'univers immense des étoiles, de toutes les beautés de la nature, de l'homme aussi ; il a créé l'espace et le temps, il y intervient, mais il vit en dehors de l'espace et du temps ; il connaît tout, il voit tout, partout ; il est le Dieu d'amour sans limite le Dieu absolument saint et juste ; le Dieu de paix ; le Dieu bienheureux. Rien ni personne ne peut lui être comparé, rien ne peut être comparé à son ciel

Et, quelle merveille ! Il nous a parlé

en envoyant son Fils. Dieu, qu'a-t-il à nous dire ? - Qu’il veut faire partager aux hommes pécheurs et angoissés son amour, sa sainteté, sa paix et sa joie, éternellement. Il dépasse infiniment nos plus grands espoirs.

Pour nous amener là, un seul chemin,

c'est Jésus Christ, qui a déclaré :

« MOI JE SUIS LE CHEMIN. » Jean 14. 6
Ce chemin est ouvert à tous !

Comment s'y engager, sachant que « tous ont péché et n'atteignent pas à la gloire de Dieu » Romains 3. 23 ?

Dieu accueillerait-il des pécheurs ? Non.

Mais, à l'entrée du chemin se dresse LA CROIX DE JÉSUS CHRIST. Il faut s'y arrêter, c'est là que tout se règle.

À ceux qui prennent ce chemin, Dieu adresse son commandement :
« Dieu... ordonne maintenant aux hommes que tous, en tous lieux, ils se repentent. » Actes 17. 30
et le Christ leur promet

qu’« il y aura de la joie au ciel pour un seul pécheur qui se repent. » Luc 15. 7

Se repentir, c'est dire à Dieu, avec une profonde conviction : « C'est vrai, je reconnais que je suis un pécheur ». - Faut-il s'en convaincre soi-même ? Voici un test ; Dieu dit : « Tu ne convoiteras point »... Romains 7. 7 Lequel d'entre nous n'a jamais fait, en cachette, des plans pour obtenir ce qui appartient à un autre ?

À celui qui tombe à genoux devant Jésus Christ crucifié, Dieu fait ces magnifiques promesses :
« Le sang de Jésus Christ, son Fils, nous purifie de tout péché. » 1 Jean 1. 7
« Dieu a tant aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque CROIT en lui NE PÉRISSE PAS mais qu'il ait LA VIE ÉTERNELLE. » Jean 3. 16
Et il adresse encore une invitation :
« CROIS au Seigneur Jésus et tu seras sauvé. » Actes 16. 31
Êtes-vous angoissé, perdu, à la recherche de la paix ?

Cherchez-vous un chemin qui mène à Dieu ?

Alors contemplez le Sauveur sur la croix ;

Apprenez qu'il meurt pour ôter vos péchés ;

Repentez-vous ;

Croyez en Jésus Christ ; recevez-le comme votre Seigneur et votre Sauveur ;

Mettez votre confiance en Dieu ; il vous aime ; il vous pardonne à cause de Jésus Christ ; il vous ouvre le ciel.

Voilà le chemin qui mène à Dieu et à la paix du cœur. - C'est le seul !

Tous les autres chemins mènent à la perdition.

« Comment pouvons-nous en savoir le chemin ? Jésus lui dit : Moi, je suis le chemin, et la vérité, et la vie. » Jean 14. 6
« Voici, je mets devant vous le chemin de la vie. » Jérémie 21. 8
« Enquérez-vous… quelle est la bonne voie ; et marchez-y, et vous trouverez du repos pour vos âmes. » Jérémie 6. 16

Publié le 20.08.1994


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