Est-ce que tu remarques quelque chose d’étrange sur cette photo ?
Eh bien, la porte n’a pas de poignée ; on ne peut l’ouvrir que de l’intérieur !
Cela me fait penser à Jésus, le Fils de Dieu, qui frappe à la porte de notre cœur. Il voudrait entrer chez toi aussi, c'est-à-dire devenir ton sauveur et ton ami, t’apporter la paix du cœur, te donner la joie, et t’aider dans ta vie de tous les jours, dans tes relations avec les autres, malgré les difficultés que tu peux rencontrer.
Mais il te respecte et te laisse libre de choisir.
Jésus t’aime et voudrait entrer en relation avec toi, mais il ne veut pas te forcer.
Alors il frappe à la porte de ton cœur et il attend. Il t’attend.
Vas-tu lui ouvrir ?
Il frappe, cela veut dire qu’il attire ton attention, et cela de plusieurs façons.
D’abord par la nature, si belle, qui a forcément été créée… par Dieu.
Il te « parle » aussi par les événements de ta vie : la joie d’avoir réussi à un examen ou d’avoir réalisé un exploit sportif… mais peut-être aussi la déception de subir un échec, le chagrin de perdre un être aimé…
Il « parle » également à tous par les catastrophes mondiales, les tremblements de terre, les guerres… Dieu ne désire pas la mort de toutes ces victimes, mais toutes ces horreurs nous montrent que la vie est fragile et que personne ne sait combien de temps il lui reste à vivre.
Enfin, il s’adresse à toi par sa Parole, la Bible. Elle a de nombreux messages pour toi. Voici encore des textes qui évoquent d’autres portes :
Jésus montre ici qu’il faut choisir entre deux portes :
Jésus dit : « Moi je suis la porte des brebis... si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé. » Jean 10. 7 et 9
Jésus prend l’exemple d’une bergerie. Il explique comment devenir une brebis de ce troupeau, c'est-à-dire un enfant de Dieu.
Notre rang social, notre argent, nos bonnes actions, tous nos efforts… ne changent rien.
Il y a un seul moyen : c’est Jésus.
Jésus est mort sur la croix pour effacer tous nos péchés, c'est-à-dire toutes nos mauvaises actions (vol, meurtre, hypocrisie, fraude, mensonge…) et aussi nos pensées négatives (colère, jalousie, amertume…). Tout cela offense Dieu et mérite une punition. C’est ce châtiment que Jésus a subi à notre place, et maintenant Dieu peut nous pardonner.
Dieu nous demande seulement de reconnaître tout ce qu’on a fait de mal et de croire que Jésus a déjà tout fait pour l’effacer.
Mais attention, il ne suffit pas de connaître la porte pour être délivré. Si on ne bouge pas, on est toujours à l’extérieur ! Pour être sauvé, il me faut passer par la porte, reconnaître que j’ai besoin de Jésus dans ma vie.
La patience de Dieu aura une fin. Ne reste pas sur le pas de la porte. Un jour, elle sera fermée et tu resteras dehors.
Jésus a promis de s’occuper de celui qui croit en lui, comme un berger s’occupe de ses brebis, les nourrit, les conduit et les protège. Il a dit :