Il y a plus de 1500 ans avant notre ère, les fils d’Israël (appelés aussi les Hébreux) sont esclaves en Égypte. Le Pharaon les opprime par des travaux forcés et refuse de les libérer pour qu’ils rejoignent le pays que Dieu leur a promis. Ils implorent Dieu de les délivrer.
Dieu envoie de terribles plaies pour avertir le Pharaon et l’obliger à libérer les fils d’Israël. Malgré toutes ces catastrophes, le souverain refuse. Alors Dieu intervient par une dernière et terrible plaie qui doit frapper les familles égyptiennes comme les familles israélites.
Quel terrible malheur ! Mais Dieu indique le moyen d’échapper à la mort :
Durant cette nuit mémorable, lorsque l’ange destructeur voit le sang sur l’encadrement de la porte d’entrée d’une maison, il « passe par-dessus » et le fils aîné est épargné.
Si l’ange destructeur ne voit pas de sang sur l’encadrement de la porte d’entrée, alors le fils aîné meurt.
LE SANG du sacrifice était le SEUL MOYEN d’échapper à la mort.
Nous sommes tous dans une situation dramatique :
Mais Dieu ne nous a pas abandonnés à notre terrible état. Il aime tous les hommes et encore aujourd’hui il offre à TOUS le moyen d’échapper au jugement et à la mort éternelle.
Sur la croix, Jésus Christ a enduré des souffrances horribles de la part de ses bourreaux. Mais celles que Dieu lui a infligées à cause de nos péchés ont été encore plus terribles. Pendant les trois heures où le pays a été plongé dans l’obscurité, Jésus Christ a subi à notre place le châtiment que nous méritions.
Avant de mourir, Jésus Christ a crié : « C’est accompli. » Jean 19. 30 (Littéralement : la dette [du péché] est payée.)
Après ces mots, Jésus a laissé sa vie, c’est-à-dire qu’il est mort volontairement. Il avait ce pouvoir car il était Dieu.
Alors que Jésus était déjà mort, un soldat romain lui a percé le côté avec une lance. Il en est sorti du sang et de l’eau.
« (Jésus) a fait la paix par le sang de sa croix. » Colossiens 1. 20
Dieu affirme que le sang de Jésus Christ a pour lui une valeur incomparable. Ce sang est le SEUL qu’il puisse agréer pour l’expiation des péchés car Jésus est le seul à avoir été un homme parfait.
Jésus est entré dans la mort en vainqueur et Dieu l’a ressuscité trois jours après. Par cette résurrection, Dieu atteste que les exigences de sa sainteté et de sa justice sont totalement et définitivement satisfaites.
Le sacrifice de Jésus est entièrement suffisant pour ôter tous nos péchés.
Comme autrefois, le choix que nous faisons de croire Dieu ou de ne pas tenir compte de ses avertissements sera déterminant pour l‘avenir de notre âme.
« Qui croit au Fils a la vie éternelle ; mais qui ne croit pas (ou refuse de croire) au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » Jean 3. 36
Quelles souffrances ! Quel amour infini pour sauver nos âmes de la mort éternelle !
Ceux qui ont accepté Jésus Christ comme leur Sauveur se souviennent avec une profonde reconnaissance du prix qu’il a payé pour qu’ils soient lavés de leurs péchés.
Pour tous ceux qui ont cru en lui, Jésus a promis : « Je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi. » Jean 14. 3