À notre mort, tout n’est pas fini ! Notre esprit quitte notre corps et retourne à Dieu. Nous continuons d'exister éternellement ! Nous devrons alors tous comparaître devant le Dieu Saint pour lui rendre compte de notre vie : nos actes, nos paroles et nos pensées.
Nous sommes tous pécheurs, car nous avons tous commis des fautes (petites ou grandes). Nous méritons tous le jugement de Dieu : la seconde mort (les peines éternelles).
Mais dans son amour, Dieu n’abandonne pas les hommes à cette affreuse perspective. Il veut nous réconcilier avec Lui.
AUJOURD’HUI, Dieu offre à tous l’unique moyen d’échapper à la condamnation.
Sur la croix, Jésus Christ, le Fils de Dieu, a enduré le jugement que méritaient tous nos péchés. Dieu l’a condamné à notre place. Jésus est mort, mais trois jours après il est ressuscité, victorieux de la mort.
Nous devons confesser nos péchés à Dieu et croire que Jésus, son Fils, est mort sur la croix pour expier nos fautes. Par sa Parole, Dieu nous certifie que cela est suffisant.
Si je m’appuie sur l’œuvre de Jésus à la croix alors je peux affirmer : « Je crois au Seigneur Jésus, donc je suis sauvé ».
Si je ne crois pas en Jésus et que j’estime que mes mérites, mes qualités ou mes efforts compenseront mes fautes, alors je ne suis pas sauvé !
Supposons qu’un ami nous offre un cadeau merveilleux. Sa générosité nous touche mais nous nous sentons profondément indigne d’accepter son présent. Qu’allons-nous faire ? Nous hésitons… des pensées contradictoires nous agitent.
Nous nous souvenons des moments où nous lui avons fait du tort… Comment accepter un si grand cadeau alors que nous ne le méritons pas ! Mais refuser, ce serait lui faire une grande peine, et le blesser. Ce serait mépriser son amitié.
Accepter ? Oui, peut-être. Mais…
Et si par ce cadeau, il voulait « m’acheter » et se servir de moi contre mon gré ?
Quelle odieuse pensée ! Supposer une telle chose, c’est ne pas avoir confiance en lui. C’est le considérer comme un ennemi !
N’est-ce pas ainsi que, trop souvent, nous agissons envers Dieu ?
Notre fausse humilité, notre hésitation, notre méfiance et notre refus de croire sont en réalité des insultes à Dieu. C’est mépriser le sacrifice et la mort de Jésus Christ à la croix. Celui qui agit ainsi ne sera pas épargné du jugement éternel !
Dans sa grâce, Dieu continue d’appeler chacun de nous. AUJOURD’HUI il nous demande de nous confier en lui et de croire.
Dès que nous croyons au Seigneur Jésus, nous sommes immédiatement et définitivement sauvés. Nous n’avons aucune œuvre à faire pour compléter le salut de notre âme. Si nous devions faire quelque chose pour achever le salut de notre âme, cela signifierait que la mort de Christ à la croix n’est pas suffisante pour effacer nos péchés. Ce serait une offense à Dieu !
Il est TRÈS FACILE d’être sauvé car le salut est gratuit et accessible à tous.
Mais, le plus grand obstacle qui nous empêche d’être sauvé c’est notre orgueil. Il nous est TRÈS DIFFICILE de reconnaître que nous sommes coupables et perdus. C’est à cause de cela que plusieurs ne seront JAMAIS SAUVÉS !
Les péchés « futurs » de CELUI QUI A déjà CRU ne remettent JAMAIS en cause le salut de son âme.
Celui qui a cru est sauvé pour toujours ! Toutefois il devra confesser les péchés qu’il fera de nouveau, sinon ils seront une entrave dans ses relations journalières avec Dieu.
La Bible atteste qu’en aucun cas les rites religieux nous permettent de « gagner » le salut de notre âme, même si nous les accomplissons tous.
Aucun homme, si religieux soit-il, n’est habilité à nous accorder le pardon de nos péchés. La confession de nos fautes doit se faire à Dieu par la prière.
C’est un acte symbolique : celui qui reçoit le baptême chrétien s’identifie à la mort de Christ et à sa résurrection.
La cène (la communion) est le souvenir de la mort de Christ à la croix. Celui qui prend part à la cène exprime sa reconnaissance à Jésus son Sauveur.
Avoir une vie conforme aux enseignements de la Bible est une réponse d’amour à Dieu qui nous a sauvés. Cela ne nous permet pas d’« acheter » l’indulgence du Dieu Juste et Saint, ni d’améliorer le salut de notre âme.