Notre corps est la partie matérielle de notre être, notre âme et notre esprit composent la partie immatérielle (parfois aussi appelée uniquement âme ou esprit). Ces deux parties forment notre personnalité. Lorsque l'âme et l'esprit « habitent » dans le corps, il y a la vie. Lorsque la mort intervient, l'âme et l'esprit sont séparé du corps.
Il n'est donc pas surprenant que nous nous interrogions sur ce que deviendra notre âme particulièrement lorsque nous vivons des événement critiques ou douloureux.
Cette question a toujours effrayé les hommes depuis les temps les plus anciens. Mais c'est un sujet capital et incontournable que nous ne devons pas repousser ou fuir.
En fait un sentiment de culpabilité devant Dieu pèse sur chacun de nous à cause de nos péchés. Mais Dieu nous aime tels que nous sommes et nous adresse ce message :
Ce thème a était symbolisé par une balance qui déterminerait le sort de notre âme au moment où le Juge Divin « pèserait » nos bonnes et nos mauvaises actions. De nos jours, cette illustration fait peut-être sourire, mais au fond de nous-mêmes, quelles que soient notre culture et notre civilisation, nous avons tous ce sentiment (difficile à exprimer et souvent inavoué) qu'après la mort nous devrons paraître devant le Dieu Saint pour rendre compte de toutes notre vie.
Beaucoup fuient la question du bonheur ou du malheur éternel. De nombreuses hypothèses philosophiques ou religieuses tentent de rassurer ceux qui sont troublés, tandis que notre société de consommation et de loisirs invite chacun à profiter de l'instant présent sans se préoccuper de l'avenir.
D'autres essayent de se persuader qu'après la mort tout est fini !
À notre mort, notre esprit quitte notre corps et retourne à Dieu. Tout n'est pas fini ! Nous continuerons d'exister éternellement !
- Celles qui se sont mises en règle avec Dieu pendant leur vie. Un avenir de bonheur s'ouvre à elles.
« Jésus dit (au brigand sur la croix) : En vérité, je te dis : Aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis. » Luc 23. 43
- Celles qui pendant leur vie ont méprisé les avertissements de Dieu et ont vécu dans l'insouciance quant aux conséquences de leurs péchés. Un avenir horrible sera leur part.
« (il) mourut et fut enseveli. Et dans l'hadès ( séjour des morts), levant les yeux comme il était dans les tourments... » Luc 16. 22-23
Après la mort, il est impossible de changer notre avenir éternel !
Hélas, ceux qui sont dans les tourments y resteront éternellement sans aucun repos !
Heureusement, ceux qui sont dans le paradis ne pourront jamais être condamnés !
Parmi tous les livres de la terre, la Bible – elle seule – nous donne des certitudes quant à l’avenir éternel de notre âme. Elle seule nous offre le moyen de nous mettre en règle avec Dieu. Ainsi, chacun peut acquérir l’assurance d’être reçu dans le paradis et épargné du jugement divin.
AUJOURD’HUI, Dieu offre à tous la possibilité d’échapper à la condamnation.
Sur la croix Jésus Christ, le Fils de Dieu, a enduré le jugement que méritaient tous nos péchés. Dieu l’a condamné à notre place. Puis il est mort et trois jours après il est ressuscité, victorieux de la mort.
Celui qui croit peut être certain que dès maintenant son âme est sauvée pour l'éternité !
Celui qui refuse de croire n’a pas son âme sauvée et doit être certain qu’il ne pourra pas échapper au jugement annoncé.
« Celui qui désobéit (ne croit pas ou refuse de croire) au Fils ne verra pas la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. » Jean 3. 36
Ne dites pas : « je veux encore un peu profiter de la vie, je réglerai cette question plus tard. » Malheureusement ce sera peut-être JAMAIS ! Personne ne sait quand pour lui sonnera l’heure de quitter la terre. Ce peut être en un instant, sans JAMAIS avoir eu à nouveau le temps de se préparer !
Vous répondez :
J’ai entendu des explications différentes des vôtres ! Ne dois-je pas être baptisé, pratiquer des rites religieux, accomplir des œuvres pour être sauvé ? peut-on avoir la certitude de son salut ? et si je pèche à nouveau serai-je toujours sauvé ?...
Lisez la Bible, elle vous apportera des certitudes.
Par ailleurs ce sujet sera complété par les N° 622 et 623 de l’Appel.