Ils sont très pauvres, ces enfants, et pourtant leur visage est heureux ! - Avez-vous remarqué combien de nos contemporains montrent un visage triste ?
Désordres de la société, dénuement, incertitude quant à l'avenir, dérives, inégalités, injustices, maladies, actes fous, violences, conflits sans solution, réactions agressives... Que de motifs d'angoisse et de souffrance !
Posons-nous la question :
Ou bien est-ce que je suis tourmenté par l'inquiétude, même en me cachant sous un masque de gaieté ? Ah ! dites-vous, si vous connaissiez tous mes problèmes ! Je n'arrive pas à la fin du mois ; je suis en chômage, à la rue, etc. ! » - Et vous ajoutez : « Ce n'est pas la joie, alors je fais comme je peux. »
Peut-être, comme beaucoup, cherchez- vous à oublier vos soucis en vous plongeant dans des plaisirs passagers et trompeurs.
Nous sommes toujours à la recherche de ce bonheur insaisissable. Les nantis l'ont-ils trouvé ? Écoutez cet industriel américain extrêmement riche : « Je ne peux malheureusement acheter que ce qui est à vendre, sinon il y a longtemps que je me serais payé un peu de bonheur. »
En réalité, le problème est plus compliqué.
Nous ne pouvons plus connaître le bonheur permanent depuis que le premier homme a tourné le dos à soi Créateur.
Au lieu de profiter de la situation privilégiée accordée par Dieu dans le jardin d'Éden, il a préféré écouter la voix du diable et a désobéi au commandement divin. Puni, chassé du paradis, il a été soumis au travail pénible, à la privation de paix et de joie et finalement à la mort, conséquence de son péché. Voilà la triste histoire humaine rapportée par la Bible.
Maintenant, sans relation avec le Dieu bienheureux, nous cherchons désespérément, dans les plaisirs d'un jour, la satisfaction de notre désir déçu : « Même dans le rire le cœur est triste ; et la fin de la joie, c'est le chagrin. » Proverbes 14. 13
Ne dites pas : « Si Dieu avait voulu... » Ne le tenez pas pour responsable de nos misères ce serait faux ! Car Dieu veut notre bonheur. Il est « le Dieu bienheureux » 1 Timothée 1. 11 et désire que nous connaissions la joie du salut.
Connaissez-vous le premier miracle de Jésus ? Il a changé de l'eau en vin ! Qu'est-ce que cela signifie ? Dans la Bible, souvent le vin représente la joie. Dans une noce, la joie allait manquer ; Jésus la procure ! Jean 2. 1-11
Le bonheur, oui, mais Dieu veut d'abord que la paix soit faite entre lui et nous ; il veut que nous soyons réconciliés avec lui. Car, sans paix, pas de joie !
La paix avec Dieu ? Nous ne l'avons pas, nous le sentons bien. Lui, il connaît tout, il voit tout, notre vie, notre conscience. Son regard, ainsi que sa question : « Qu'as-tu fait ? » Genèse 4. 10 nous mettent mal à l'aise. « Où fuirai-je, loin de ta face ? » Psaume 139. 7
Alors Dieu a pris l'initiative de venir à la rencontre de ceux qui sont loin de lui, en envoyant sur la terre, son Fils, le Seigneur Jésus.
Le Sauveur est venu dans le monde pour faire la paix au prix de sa vie. Il est mort sur une croix en rançon pour tous ceux qui croient en lui. Matthieu 20.28 À ceux-là, Dieu pardonne les péchés. À ceux-là, il donne la paix, et puis la joie et le bonheur.
Voulez-vous connaître ce bonheur de savoir que vos péchés sont pardonnés et que vous avez désormais une place dans le ciel ?
Le vrai bonheur vous échappe toujours ? Ouvrez votre cœur à Jésus Christ. Dites-lui votre misère, croyez en lui, confessez-lui vos péchés, acceptez son amour. Alors vous serez remplis d'une joie réelle et durable.
Un exemple : un homme riche et puissant était allé à Jérusalem pour y trouver une réponse à ses besoins profonds. Au retour, sur la route, Dieu lui a envoyé un croyant pour lui parler du Sauveur et de sa mort. AUSSITÔT l'homme a accepté Jésus et a continué son chemin « tout joyeux. » Actes 8. 26-39
C'est à votre portée. Comme cet homme, vous pouvez passer aujourd'hui de la déception à la délivrance, et continuer tout joyeux.
« Je vous annonce UN GRAND SUJET DE JOIE. » Luc 2. 10 (Message du ciel à d'humbles bergers)
Déjà maintenant vous aurez la compagnie du Sauveur, son secours dans toutes les circonstances. Vous pouvez toujours compter sur lui. - Quel bonheur pour un vrai croyant d'entendre ces paroles :
« Courage ! C'est moi ; n'ayez pas peur. » Marc 6. 50 (C'est Jésus, et il les accompagne.)