Dans beaucoup de pays, les véhicules sont régulièrement soumis à un contrôle technique officiel. Ou bien le véhicule est en bon état, et il peut continuer à circuler ; ou bien il est en mauvais état, et il devra être réparé avant de reprendre la route.
Un conducteur présente sa voiture pour ce contrôle. Simple formalité, pense-t-il : la voiture roule bien, la carrosserie a un bon aspect. La suspension et les freins sont un peu fatigués ; mais il s'y est habitué et conduit doucement.
Un technicien emmène la voiture dans l'atelier ; un collègue placé dans une fosse examine le dessous à la lumière d'une torche puissante. Puis des machines testent les freins, les amortisseurs, la direction, etc. Enfin un responsable étudie les observations des techniciens et les mesures des machines. Il coche une case, appose son cachet et tend le formulaire au conducteur. Celui-ci remercie avec un sourire : « Merci, au revoir ! » Il se dirige vers sa voiture pour partir.
Lorsqu'il regarde le formulaire, il s'arrête brusquement ; son visage exprime la consternation. Il lit et relit le verdict :
Organes de sécurité défaillants ; véhicule à représenter au contrôle après remise en état.
Il estimait que sa voiture était dans un état satisfaisant. Il a seulement oublié une chose : la conclusion du contrôle technique ne dépend pas de son avis ! Si ce contrôle constate que le véhicule ne satisfait pas aux normes de sécurité, ce véhicule n'est pas autorisé à circuler. Inutile de discuter ou de supplier.
Un autre contrôle aura lieu, bien plus important que celui des véhicules : le "grand contrôle" auquel Dieu soumettra chacun de nous, une seule fois, à la fin de notre vie.
PEUT-ÊTRE NE VOULONS-NOUS PAS Y CROIRE, en déclarant : « Y a-t-il un Dieu ? Ai-je des comptes à lui rendre ? »
OU BIEN NOUS OUBLIONS ce rendez-vous, car il nous paraît bien lointain : « J'aurai bien le temps de m'y préparer », pense-t-on. Mais, pour sûr, Dieu nous dira :
La date de ce contrôle n'est pas annoncée à l'avance, il faut tout de même SE PRÉPARER MAINTENANT, au cas où ce serait très proche... Peut-être demain ?
Répondons-nous aux « normes » de Dieu ?
« Et Dieu regarda la terre et voici elle était corrompue, car toute chair (tout être humain) avait corrompu sa voie sur la terre. » Genèse 6. 12
Dieu est parfaitement saint, et pour le satisfaire nous devrions être parfaits, c'est-à-dire sans un seul péché ! Nous sommes d'accord : c'est une condition que personne ne remplit. Conclusion logique : Dieu constatera que nous ne sommes pas justes ; il ne nous acceptera pas au jour du "grand contrôle".
Pouvons-nous discuter cette décision ?
L’AUTOMOBILISTE PEUT NIER l'existence du centre de contrôle, il peut se rassurer en affirmant que ce centre ne donne qu'un avis indicatif sans conséquence ; mais, un jour, un coup de sifflet le mettra en face de la réalité. C'est la norme du centre qui sera appliquée ; les opinions et excuses de l'automobiliste seront inutiles.
LE VERDICT SERA SANS APPEL !
De la même manière, NOUS PRÉFÉRONS SOUVENT NIER L'EXISTENCE DE DIEU, ou au moins son autorité sur nous. Mais, un jour, Dieu nous convoquera. C'est sa "norme" qui sera appliquée ; les opinions et excuses de l'homme seront inutiles !
LE VERDICT DE DIEU SERA SANS APPEL !
Mais la situation peut être réglée auparavant !
L’automobiliste s'exclame : « Le seul moyen pour vous satisfaire, c'est de changer toutes les pièces ! Je n'ai pas les moyens ! »
Réponse du contrôleur : « Je le sais, mais c'est votre problème, pas le mien ! ». C'est vrai, mais cela n'apporte pas de solution.
L'homme s'exclame : « Le seul moyen de satisfaire Dieu, c'est d'être parfait ! C'est impossible ! »
Quelle est étonnante, la réponse de Dieu ! Elle est le contraire de celle du contrôleur :
« Je le sais, mais, si maintenant tu acceptes ce que je te propose, cela devient mon problème, ce n'est plus le tien ! »
Oui, il y a une solution, et c'est Dieu qui l'offre, gratuitement
Cette offre incroyable, Dieu me la fait AVANT le jour du jugement : il me prévient que mes désobéissances entraîneront ma condamnation éternelle ; mais en même temps il m'annonce : Jésus-Christ a subi sur la croix la punition de tes péchés ; il est mort à ta place ; il te suffit d'accepter ce remplaçant pour que tu sois déclaré juste !
« Vous êtes sauvés par la grâce, par (le moyen de) la foi ; et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. » Éphésiens 2. 8
Rêvons un peu et imaginons que le contrôleur dise à l'automobiliste : « Mon ami, passez chez moi avant le contrôle : je m'occupe de changer à mes frais toutes les pièces défectueuses ; ainsi vous serez certain de ne pas être rejeté au moment de l'inspection ». L’automobiliste va sans aucun doute accepter cette générosité en remerciant de tout cœur.
Mais ce que Dieu m'offre gratuitement, c'est infiniment plus que ce que pourrait proposer l'homme le plus charitable. Dieu promet d'enlever ma culpabilité, de me délivrer du jugement éternel de l'enfer, de m'adopter comme son enfant et de me préparer une place dans sa maison !
CETTE OFFRE EST POUR VOUS, AUJOURD'HUI !
Prenez le temps de bien réfléchir. Après la mort, c'est trop tard. Vous devez choisir :
l’accepter ou ne pas l'accepter,
en bénéficier ou ne pas en bénéficier.