La forêt brûle !

La forêt brûle !

Or il reste encore une vingtaine de pompiers encerclés par le feu. Ils ne s'en rendent pas compte, mais le pilote d'un avion les survole et comprend la situation. Trois fois il risque sa vie en lançant un message : - Danger de mort imminente ; je vous montre un chemin pour sortir de là ; regardez l'avion. »

Pris dans l'incendie, ces hommes, périront-ils ? Ils ne peuvent rien voir à cause de la fumée. Mais d'en haut l'aviateur, lui, voit toute la scène ; il veut les aider. — Les pompiers captent le message. Vont-ils y croire ?

S'ils ne croient pas, ou s'ils tardent, c'est la mort certaine ! S'ils suivent aussitôt les signaux du pilote, c'est la certitude du salut.

Ils font confiance ! Ils abandonnent immédiatement tout leur matériel et se laissent guider dans un étroit couloir encore épargné par les flammes, jusqu'à la route ; les voilà sauvés, en sécurité !

Si nous étions aussi en danger sans le savoir, FERIONS-NOUS CONFIANCE AU MESSAGE de salut venu d'en haut ?

Un danger ! Lequel ? Un incendie ? Une maladie ? Le chômage ?... Non, beaucoup plus grave : le malheur éternel ; oui, une souffrance sans fin dans l'au-delà.

Car nous avons une âme ; notre véritable personnalité c'est notre âme. Elle ne cesse pas d'exister même après la mort du corps. Nous serons pour toujours ou bien dans l'enfer, extrêmement malheureux, ou bien au ciel dans le bonheur parfait. - Rien n'est plus urgent à régler que le sort de notre âme.

Notre âme a hérité de la nature humaine condamnée par Dieu : « Par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et ainsi la mort a passé à tous les hommes » Romains 5. 12 même au meilleur d'entre nous !

Le péché, la violation de la volonté de Dieu ? Ce que le monde en pense est faux ! Car Dieu est absolument saint et ne fait aucun compromis avec le péché. Or qui de nous peut se retenir ce désobéir au vrai Dieu ? « Vos iniquités (ou péchés) ont fait séparation entre vous et votre Dieu. » Ésaïe 59. 2 Mais il offre le salut au pécheur !

ÉCOUTER D’ABORD L’AVERTISSEMENT
« Qui croit au Fils a la vie éternelle. Qui désobéit au Fils NE VERRA PAS LA VIE, mais LA COLÈRE DE DIEU DEMEURE SUR LUI. » Jean 3. 36

Pas d'illusion ! Ou la colère de Dieu, ou la ve éternelle. Pas d'état intermédiaire.

Le Fils de Dieu c'est Jésus, le Sauveur.

Croire au Fils, qu'est-ce que c'est ? C'est se confier en celui qui s'est offert en sacrifice pour sauver de la perdition les pécheurs repentants. Quiconque croit en lui a la certitude de recevoir la vie éternelle.

Désobéir au Fils, qu'est-ce que c'est ? C'est refuser ou négliger de se confier en lui, (comme si les pompiers avaient négligé le message du pilote). Quiconque ne croit pas en Jésus peut-être certain, hélas, que rien d'autre n'arrêtera la colère de Dieu.

Trouvez-vous choquant que Dieu inflige une punition éternelle au non croyant ? Si un homme rejette le sacrifice de Christ qui ôte le péché, trouveriez-vous normal que Dieu le reçoive dans le ciel ? Ce serait ignorer la grandeur, la sainteté et La justice infinies du Dieu révélé dans la Bible. Ce serait se faire un faux dieu, animé d'un esprit humain.

Non, l'au-delà de cet homme c'est l'enfer, le feu éternel « préparé pour le diable et ses anges. » Matthieu 25. 41 Voilà le sort fixé par le juge divin pour les pécheurs non sauvés, et pour ceux qui auront prétendu être chrétiens sans croire en Jésus Christ de tout leur cœur.

ENSUITE SE LAISSER GUIDER
« Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à la possession du salut par notre Seigneur Jésus Christ. » 1 Thessaloniciens 5. 9
« Dieu est amour... En ceci a été manifesté l'amour de Dieu pour nous, c'est que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions (nous ayons la vie) par lui. » 1 Jean 4. 9
« Dieu met en évidence SON AMOUR à lui envers nous en ceci : lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous. À plus forte raison, ayant été justifiés par son sang, serons-nous SAUVÉS DE LA COLÈRE PAR LUI. » Romains 5. 8

Le Dieu très saint se doit d'exercer la colère contre l'homme incrédule. Mais « il prend son plaisir en la bonté. » Michée 7. 18 Quand un pécheur se repent et vient à lui, il dit : « Il fallait se réjouir. » Luc 15. 32

« Je laisse ma vie pour les brebis... je leur donne la vie éternelle, et elles ne périront jamais, et personne ne les arrachera de ma main, personne ne peut les arracher de la main de mon Père. » Jean 10. 15, 28 et 29

Voilà ce que nous garantit le Christ ! Car les hommes, comme les brebis, ne peuvent pas se délivrer seuls. Quelle protection contre le diable, contre soi-même, ou tout autre !

Le sacrifice de Jésus Christ est parfait ; sa valeur est infinie et éternelle. Il a été accompli une fois pour toutes ; il n'y a rien à y ajouter ; il ne sera pas renouvelé. Personne ne peut mettre en question le salut obtenu à ce prix. Rien ne peut le faire perdre ; il n'y a aucune incertitude. Si les péchés d'un homme sont ôtés par le sang de Christ, cet homme est rendu juste pour toujours. Dieu met sur lui un sceau inviolable. Éphésiens 1. 13

« Ayant été justifiés sur la base de la foi, nous avons la paix avec Dieu. » Romains 5. 1
« C'est Dieu qui justifie ; qui est celui qui condamne ?... aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu qui est dans le Christ Jésus. » Romains 8. 33 et 39

« Qui croit au Fils. » — « Qui désobéit au Fils. » Jean 3. 36 Devant Dieu il n'y a que deux catégories de personnes. Réincarnation, annihilation etc. sont de pures tromperies. Aussi longtemps qu'un homme est en vie, Dieu ne se lasse pas de lui dire : « Qui croit au Fils A LA VIE ÉTERNELLE. » Jean 3. 36

« En ceci est l'amour... en ce que Dieu nous aima et qu'il envoya son Fils pour être la propitiation pour nos péchés. » 1 Jean 4. 10
« Nous supplions pour Christ : soyez réconciliés avec Dieu. » 2 Corinthiens 5. 20

Publié le 01.02.2008


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