Henri a été élevé dans la stricte observation des pratiques religieuses. Mais lui, il prend les formes religieuses pour de l'hypocrisie, et il les rejette en bloc.

La société lui impose des obligations, il ne les accepte pas ; il veut s'affirmer lui-même. La ville lui est devenue insupportable, avec ses amusements, et sa politique. Il espère trouver la paix dans la campagne. Les gens qu'il y rencontre lui paraissent plus vrais. Hélas, c'est encore une illusion. Il ne sait plus où aller.

Appelé au service militaire, il refuse de porter les armes. Il fait plusieurs séjours en prison, et c'est là qu'il rêve à la liberté.

Rien n'est normal sur la terre, pense-t-il. Il ose même accuser Dieu d'avoir fait un monde aussi violent et méchant.

Il veut fuir plus loin, dans un monde où les gens seraient meilleurs. Sa recherche le fatigue et le déçoit. Il traîne dans les rues et sur les routes ; il rencontre quelques êtres aussi étranges que lui.

Il se lie à un groupe de drogués ; mais avec eux aussi il se sent enfermé. Alors il s'en va. Pour gagner sa vie, il parcourt son pays au volant d'un vieux camion, qui tombe bientôt en panne. De nouveau il vit d'aventures.

Il reconnaît : "Chaque jour je m'affaiblissais un peu plus. J'ai côtoyé les jeunes qui se vendent pour de la drogue, les orgueilleux qui brisent les êtres sensibles. Je me suis usé dans un monde où les uns sont les esclaves des autres. J'ai subi les coups de la vie brutale et cruelle !... À 28 ans j'étais épuisé, découragé, écœuré, j’avais une âme de vieux qui a tout vu, tout vécu… et n'a rien trouvé."

Un jour, à sa grande surprise, cette pensée s'impose à lui, comme si le Seigneur lui disait : "Tu as fait ce que tu as voulu. Je t'ai laissé aller jusqu'au bout pour que tu sois bien convaincu que c’est de moi que tu as besoin."

Un autre jour, notre ami se met à décrire un pays de rêve. Ce serait la liberté totale, on pratiquerait la réincarnation et le bouddhisme zen. Mais quelqu'un l'arrête et lui parle du seul vrai Dieu et de son appel pressant.

Henri écoute, d'abord distrait, puis sérieux, enfin conquis par le Christ.

Il raconte : "Peu à peu les écailles sont tombées de mes yeux. J'ai reçu le Seigneur comme mon Sauveur. Un dur combat s'est livré en moi. Enfin le Seigneur a gagné la bataille. Il a rompu mes liens ; il m'a délivré de mes angoisses et m'a rempli de sa paix."

Est-ce que vous aspirez à la vérité ? - Alors Christ vous appelle. Est-ce que vous l'avez écouté ? Est-ce que vous l'avez cru ? II ne vous oblige pas, il vous offre simplement de vous conduire dans son chemin, celui de la vraie liberté, la liberté intérieure. Il y marchera devant vous.

Ce n'est pas la peine de rejeter les exigences de la société. Les barreaux de votre prison ne sont pas les hommes, ni leur organisation. C'est avant tout le péché dans votre cœur. Le péché fait de l'homme un esclave. Jean 8. 34 Jésus Christ vous libérera définitivement. Venez à lui en lisant la Bible, la Parole de Dieu. Ce n'est pas un livre de règles morales et religieuses, c'est la VÉRITÉ DE DIEU. À chaque page vous trouverez une Personne, Jésus Christ venu pour vous délivrer.

Dieu s'est fait connaître dans la personne de son propre FILS, JÉSUS, le CHRIST. Quand celui-ci est venu sur la terre il n'a pas été annoncé par de grandes affiches. Il ne s'est pas présenté comme un héros. Tout au contraire il a vécu très humblement. Il n'y avait « aucune apparence en lui pour nous le faire désirer. » Ésaïe 53. 2 Il est devenu un homme comme nous pour être proche de tous : pêcheurs, prostituées, percepteurs d'impôts, malades, exclus, théologiens, hauts fonctionnaires. Il a lavé les pieds de ses disciples. Au milieu d'hommes égoïstes, il était le modèle du don de soi. De plus il a apporté la grâce pour consoler et pardonner. À chacun, dans son besoin personnel, il tend une main secourable, aujourd'hui comme autrefois.

Il est très proche de nous. Il nous comprend très bien. Quel grand secours ! Mais pour nous libérer totalement il fait encore plus, il brise notre chaîne, il ôte nos péchés. Nous méritons un terrible châtiment : il l'a subi à notre place. Il est allé jusqu'à la mort la plus honteuse, comme un esclave volontaire, cloué sur une croix. Il a souffert « le Juste pour les injustes » 1 Pierre 3. 18, « en rançon pour tous. » 1 Timothée 2. 6 C'était le prix nécessaire pour que nous soyons entièrement délivrés du péché et de son esclavage.

Croyez à Jésus Christ ; il vous arrachera à vos liens. Vous vous étiez fait votre idée de la liberté. Il vous en donnera une bien plus grand et bien plus belle. Voulez-vous vraiment cette liberté ? - Recevez Jésus, le Seigneur, comme votre Sauveur personnel.