Deux rendez-vous – Un choix !

LE PREMIER RENDEZ-VOUS ?
NE VOUS MOQUEZ PAS !

Un homme entre dans un café pour distribuer des tracts évangéliques aux consommateurs. Le patron s'approche et déclare :

- Ce n'est pas la peine d'évangéliser ici !

- Au contraire, c'est justement ici qu'il faut apporter le message de Dieu, et qu'il faut montrer aux hommes le chemin du vrai bonheur. Si vous ne vous convertissez pas, vous êtes perdu pour toujours.

- Je ne crois pas à l'enfer, et, s'il existe, il n'est pas ici.

- L'enfer ? Prudence ; ne vous moquez pas, il existe bel et bien ! Mais, en effet, fort heureusement, il n'est pas ici ; en voici des preuves :

Premièrement, je crois au Seigneur Jésus, et en enfer personne ne se confie en lui ;

Deuxièmement, j'ai une Bible, et en enfer il n'y en a pas une seule ;

Troisièmement, ici vous vendez des boissons. En enfer il règne une soif que personne ne peut calmer.

Enfin, si vos clients aiment se retrouver ensemble chez vous, ils peuvent aussi en sortir quand ils le veulent. Par contre ceux qui se trouveront en enfer en seront épouvantés, et aucun d'eux ne pourra jamais s'en évader.

FRISSON D'ANGOISSE !

Une compagnie de touristes s'embarque pour une petite croisière sur un lac suisse. Sur le bateau, plusieurs groupes de jeunes se mettent à chanter des cantiques pour louer Dieu.

L'un des touristes, cependant, n'apprécie pas ce témoignage chrétien. Sans tarder il s'en va à l'autre bout du pont principal ; peu après, le voilà au pont inférieur ; il n'arrive pas à trouver la quiétude qu'il désire.

Pour finir, il s'adresse à un membre du personnel de bord qui passe par là :

- Connaissez-vous un endroit où je pourrais être à l'abri de ces dévots ?

- Oui, monsieur, je sais..., en enfer !

La réponse a jailli ! Ce qui poussa le steward à la faire, nous ne le savons pas. Mais elle produisit un frisson d'angoisse chez le passager. Ces deux mots lui revenaient constamment à l'esprit et l'agitaient : « en enfer ». Et s'il y avait un enfer où l'on soit rassemblé après la mort ! Et si c'était pour toujours ! Il lui sembla que Dieu lui parlait...

CE N'ÉTAIT PAS DU TOUT L'INTENTION DE DIEU

d'envoyer des hommes en enfer, pas plus que ce n'était l'intention de l'homme dans le café, ou celle des chanteurs sur le bateau, d'en parler.

« Le feu éternel est préparé pour le diable et ses anges. » Matthieu 25. 41 (pas pour les hommes !)

Mais hélas, les hommes inattentifs aux plans de Dieu se trouveront aussi dans ces « ténèbres de dehors, où seront les pleurs et les grincements de dents. » Matthieu 25. 30 Pourquoi ? Parce qu'ils auront refusé, ou négligé, de se reconnaître pécheurs et de croire au Sauveur que Dieu a donné pour eux.

OU BIEN LE SECOND RENDEZ-VOUS ?
LA VRAIE INTENTION ; ESPÉRANCE ET JOIE !
« Je reviendrai et je vous prendrai auprès de moi, afin que là où moi je suis, vous, vous soyez aussi. » Jean 14. 3

Qui fait cette promesse ? C'est Jésus Christ, parlant à ses rachetés. Comment opérera-t-il ?

« Le Seigneur lui-même..., descendra du ciel ; et les morts en Christ ressusciteront premièrement ; puis nous, les vivants qui demeurons, nous serons ravis ensemble avec eux dans les nuées à la rencontre du Seigneur en l'air ; et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur. » 1 Thessaloniciens 4. 16-17

Ce que Dieu a constamment cherché pour les hommes, c'est leur bonheur éternel :

« Je connais les pensées que je pense à votre égard..., pensées de paix et non de mal, pour vous donner un avenir et une espérance. » Jérémie 29. 11

Aujourd'hui, Dieu propose à tous les hommes la paix, avec l'espérance d'un avenir infiniment heureux. Son grand désir est que Jésus Christ les rassemble auprès de lui. Au ciel, il n'y a ni ténèbres, ni mal, ni mort, ni ennui, ni solitude ; c'est le repos, la joie, la paix et la gloire, où Jésus Christ veut ses rachetés avec lui pour toujours. Le ciel, c'est « la maison du Père » Jean 14. 2, où Dieu rassemblera les siens, comme un père plein d'amour rassemble ses enfants pour se réjouir avec eux des plus belles joies de la famille.

Que faire pour y avoir place ? Il faut venir à Jésus Christ et croire en lui, le Sauveur des pécheurs ; il est le seul chemin. On n'entre pas là parce qu'on a fait plus de bien que de mal, ni parce qu'on a adhéré à telle religion, ni parce qu'on a été sincère. On y entre parce qu'on a confessé être pécheur, non à sa propre estimation, mais à celle de Dieu. En acceptant pour soi l'œuvre accomplie à la croix, on est « revêtu des vêtements du salut et couvert de la robe de la justice. » Ésaïe 61. 10 – « Jésus Christ… crucifié..., ressuscité... il n'y a de salut en aucun autre. » Actes 4. 10-12

« Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à l'acquisition du salut par notre Seigneur Jésus Christ, qui est mort pour nous. » 1 Thessaloniciens 5. 9

L'exemple de la page suivante montre les deux sorts absolument opposés assignés à un croyant et à un non-croyant après leur vie terrestre. Personne ne peut rien y changer ; il n'y a aucune relation entre les deux domaines. Pour échapper aux tourments et être reçu au ciel, il n'y a qu'un moyen : croire ce que Dieu dit. On est sauvé par la foi ; la vraie foi est fondée sur la Bible, et non sur les miracles.

LE RICHE ET LAZARE

Une parabole de l'évangile selon Luc, chapitre 16 versets 19 à 31

Lazare « mourut, et il fut porté par les anges dans le sein d'Abraham (séjour des croyants décédés ; tournure juive). Et le riche aussi mourut, et fut enseveli. Et en hadès (séjour des non-croyants décédés), levant ses yeux, comme il était dans les tourments, il voit de loin Abraham, et Lazare dans son sein.

Et s'écriant, il dit : ... Aie pitié de moi et envoie Lazare, afin qu'il rafraîchisse ma langue, car je suis tourmenté dans celle flamme.
Mais Abraham dit : ... Maintenant, Lazare est consolé ici, et toi, tu es tourmenté. Et… un grand gouffre est fermement établi entre nous et vous, en sorte que ceux qui veulent passer d'ici vers vous ne le peuvent, et que ceux qui veulent passer de là ne traversent pas non plus vers nous.
Et il dit : Je te prie donc de l’envoyer car j'ai cinq frères, en sorte qu'il les adjure ; de peur qu'eux aussi ne viennent dans ce lieu de tourments.

Mais Abraham lui dit : Ils ont Moïse et les prophètes (la Bible) ; qu'ils les écoutent. Mais il dit : Non, père Abraham, mais si quelqu'un va des morts vers eux, ils se repentiront.

Et il lui dit : S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes (la Bible), ils ne seront pas persuadés non plus si quelqu'un ressuscitait d'entre les morts. »

Publié le 30.07.1997


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