Que le Dieu d'espérance vous remplisse de toute JOIE et PAIX en CROYANT

« Que le Dieu d'espérance vous remplisse de toute JOIE et PAIX en CROYANT. » Romains 15. 13
Le mal de vivre

Au Festival de Cannes en 1955, on présente au public le dernier-né des enfants terribles du cinéma : JAMES DEAN. Ses deux premiers films l'ont déjà rendu célèbre aux U.S.A. : À l'est d'Éden et La fureur de vivre. La gloire à 24 ans... et seulement quelques mois à vivre !

C'est un garçon tourmenté, qui n'a jamais pu se consoler de la mort de sa mère, alors qu'il avait huit ans. À 17 ans, il confie à un ami : « Je suis foncièrement mauvais, personne ne m'aime et je n'aime personne. » Il lui arrive de marcher seul la nuit pendant des heures. Il achète des motos de course et « s'éclate » sur les routes. Il est poursuivi par le mal de vivre.

Quand il devient acteur, il dit : « Jouer est pour moi la meilleure façon de défouler mes névroses. Ici, à Hollywood, je me sens comme un chat abandonné. » Il croit avoir trouvé le grand amour... l'espace d'un été. Inconsciemment il cherche à se détruire et prend des risques insensés au volant de sa Porsche.

Le 30 septembre 1955, il fonce sur la route à 180 km/h. Un croisement, une voiture... Le choc est horrible, les deux autos broyées. James Dean est tué sur le coup, à 24 ans. La jeunesse américaine, qui s'identifiait à lui à cause de ses rôles d'adolescent angoissé, écrasé par la vie, pleure.

Le mal de vivre, c'est perdre le goût de vivre, submergé par des idées noires, des pensées de fuite, écrasé devant les problèmes, comme quelqu'un qui va se noyer. L'angoisse monte, inexorablement, et l'on s'écrie dans sa douleur : « Qui me délivrera de ces pensées de mort ? »

C'est un mal vieux comme le monde. Déjà Job s'écriait : « Pourquoi ne suis-je pas mort dès ma naissance ? ... Pourquoi la vie est-elle donnée à ceux qui ont l'amertume dans l'âme, à ceux qui attendent la mort... Je n'étais pas en sécurité, et je n'étais pas tranquille ni en repos... » (La Bible, Job 3)

De l'amertume à la joie

À cinq ans, Alain fut remis par sa mère à l'orphelinat. Placé dans diverses familles, il ne trouva jamais de vraie maman qui l'aime, tel qu'il était, malgré son mauvais caractère. Il en souffrit beaucoup et devint un révolté. Avec des « copains » il vola, se drogua et se retrouva en prison.

À 18 ans, il est en Espagne, malheureux, vagabond. Un inconnu remarque sa détresse et l'invite à loger chez lui. C'est un pasteur. Alain accepte l'hospitalité, à condition qu'on ne lui parle pas de Dieu : marché conclu ! Pourtant la bonté inexplicable de cette famille le trouble et l'inquiète.

Quelques jours plus tard, Alain rencontre un chrétien qui l'entraîne, malgré lui, dans une réunion évangélique. Il est assis, buté, d'ailleurs il ne comprend rien. Tout à coup, quelqu'un lui dit en français : « Viens à moi, tu seras heureux. » Il a brusquement levé la tête. Qui a parlé ? Il n'est entouré que d'Espagnols ! À cet instant il comprend : c'est dans son cœur qu'il a entendu la voix, c'est le Seigneur Jésus qui lui a parlé.

Toujours logé dans la même famille, il commence à s'ouvrir, à discuter. Il lit aussi le Nouveau Testament et réalise qu'il doit « se repentir et se convertir. » (Actes 3. 19) Un beau jour il supplie le Seigneur de changer sa vie. Et c'est ce qui arrive en effet. Ce jour-là, Dieu est devenu son Père. Le premier conseil qu'il reçoit, et le plus difficile à suivre, c'est de pardonner à sa mère, qu'il rend responsable de son malheur. Dans son cœur, la joie a remplacé la tristesse, la paix a chassé l'angoisse. Et il a trouvé le vrai amour, plus fort que celui d'un père (Deutéronome 1. 31), plus tendre que celui d'une mère. (Actes 13. 18) Il désire alors que Jésus Christ, qui est devenu son Seigneur, l'envoie annoncer l'évangile au milieu des jeunes « paumés », de ceux qui ont la peur de vivre.

La joie de vivre,

c'est en Jésus que tu la trouveras. Si James Dean avait rencontré Jésus Christ le Sauveur, il aurait échappé à son mal de vivre, il aurait connu le vrai bonheur, le véritable amour, la vie en abondance.

Rafer Johnson, champion de décathlon, a dit : « Si un garçon ou une fille veut atteindre la joie de vivre, je lui conseille Jésus Christ. »

Laisse Jésus tracer ton chemin

Laisse-le te guider par la main,

Alors avec moi tu chanteras

Un éternel hymne de joie.

Jésus de Nazareth ! II a donné sa vie pour toi sur la croix, pour t'arracher au mal, au péché, à ta vie passée loin de Dieu. Il est ressuscité, il est vivant aujourd'hui pour te sauver.

Tu ne sais pas comment diriger ta vie : il connaît ton chemin d'avance.

Tu es mal dans ta peau, stressé, angoissé : dis-lui ton problème, il te donnera Sa paix.

Tu n'es pas aimé : il est plein d'amour pour toi. Arrête tes mensonges, tes vols, tes saletés. Laisse tomber tes mauvaises relations. Dis-lui ta vie ratée, ton désespoir.

Jésus Christ est vivant, il veut te parler ; tourne-toi vers lui.

« Ceux que l'Éternel a délivrés retourneront... avec des chants de triomphe ; et une joie éternelle sera sur leur tête ; ils obtiendront l'allégresse et la joie, et le chagrin et le gémissement s'enfuiront. » Ésaïe 35. 10
Lis l'Évangile ;

lis-le honnêtement, tu rencontreras le Sauveur. Réfléchis bien ; tu dois faire un choix : ou tu gâches ta vie, sans Dieu, sans idéal, ou tu donnes ta vie à Jésus, et il en fera quelque chose de merveilleux, pour lui, pour toi et pour les autres.

« Réconcilie-toi avec lui, je te prie et sois en paix : ainsi le bonheur t'arrivera.
Reçois l'instruction de sa bouche, et mets ses paroles dans ton cœur. » Job 22. 21-22
« II y a telle voie qui semble droite à un homme, mais des voies de MORT en sont la fin. » Proverbes 14. 12
« Tu as le nom de vivre, et TU ES MORT... Prends garde et REPENS-TOI. » Apocalypse 3. 1-3
« Cherchez l'Éternel, et vous vivrez... CHERCHEZ-LE LUI... QUI CHANGE EN MATIN L'OMBRE DE LA MORT. » Amos 5. 6-8
Jésus dit : « Moi je suis... LA VIE ; CELUI QUI CROIT EN MOI, ENCORE QU'IL SOIT MORT, VIVRA. » Jean 11. 25
« Ne crains point ; moi je suis le premier et le dernier, et le vivant ; et j'ai été mort ; et voici JE SUIS VIVANT AUX SIÈCLES DES SIÈCLES » Apocalypse 1. 17-18

Publié le 20.04.1990


Télécharger le PDFQue le Dieu d'espérance vous remplisse de toute JOIE et PAIX en CROYANT