Le bien/Le mal, idées reçues ou vérités incontournables ?

Un projet merveilleux

La notion du « bien » et du « mal » basée sur les enseignements de la Bible est souvent considérée comme dépassée. Mais c’est un sujet de toute importance car il a une influence fondamentale sur la relation personnelle que nous avons avec Dieu.

Notre Créateur, le Dieu saint et juste désire entretenir avec chacun de nous une communion heureuse et bénie (un réel partage de pensées, de centres d’intérêts, de buts) et remplir de joie nos vies journalières.

L’Éternel dit : « Je pense à votre égard des pensées de paix et non de mal, pour vous donner un avenir et une espérance. » Jérémie 29. 11

Y aurait-il un obstacle ?

Ce bonheur que Dieu veut nous faire partager est incompatible avec ce qui est opposé à sa sainteté et à ses pensées. Mais soyons rassurés : ce Dieu qui nous aime tous, quelle que soit notre situation, a tout fait pour que cet obstacle soit ôté.

Le « barrage » entre Dieu et nous s’appelle : « le péché ». Selon la Bible, tout acte ou toute pensée contraire à la volonté de Dieu est un péché.

Le bien c’est : ce qui est en harmonie avec les pensées et le caractère de Dieu.

Le mal c’est : ce qui est contraire à sa nature, ce qu’il hait.

Comment détecter cet obstacle ?

Dès la naissance, chacun de nous possède une faculté qui agit au plus profond de notre être comme un signal d’alarme : c’est notre CONSCIENCE. Elle nous procure un sentiment d’approbation lorsque nos actes ou nos pensées sont en accord avec les pensées de Dieu. Dans le cas contraire, elle crée en nous un malaise. Mais elle n’est pas infaillible car elle peut être faussée ou influencée par nos coutumes, nos traditions, nos fréquentations et notre manière de vivre.

C’est pourquoi, afin que nous puissions distinguer d’une façon parfaitement juste ce qui est « bien » de ce qui est « mal », Dieu nous a donné sa Parole, la Bible. En la lisant nous apprenons à avoir – sur nos actes et nos pensées – la même appréciation que le Dieu saint et juste. Un jeune roi a fait cette prière : « Donne donc à ton serviteur un cœur qui écoute… pour discerner entre le bien et le mal. » 1 Rois 3. 9

Quelques exemples de la Bible

La vie de Jésus était la réalisation parfaite de ce que Dieu attendait d’un homme qui l’honore. Plusieurs fois ses contemporains l’ont questionné : « Maître, quel est le grand commandement dans la loi ? Il leur dit : Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur et de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est là le grand et premier commandement. Et le second lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. » Matthieu 22. 36 à 38

De nombreuses paroles de la Bible nous donnent le juste éclairage. Par exemple :

Ce qui est en harmonie avec les pensées de Dieu : « l’amour, la joie, la paix, la patience, la bienveillance, la bonté, la fidélité, la douceur, la maîtrise de soi. » Galates 5. 22-23

Ce qui est opposé aux pensées de Dieu : « La fornication, l’impureté, l’impudicité, l’idolâtrie, la magie, les haines, les querelles, les jalousies, les colères, les rivalités, les divisions, les sectes, les désirs immodérés, les meurtres, les ivrogneries, les orgies, et les choses semblables à celles-là, au sujet desquelles je vous déclare d’avance… que ceux qui commettent de telles choses n’hériteront pas du royaume de Dieu. » Galates 5. 19 à 21

La Bible apporte aussi des réponses sur des sujets qui nous concernent quotidiennement : mensonge – vol – non respect des lois – manque d’honneur des enfants envers leurs parents – infidélité conjugale – violence – actes de vengeance etc.

Prendre conscience de nos péchés

En présence de la Parole de Dieu, nous devons reconnaître que plusieurs de nos actes ou de nos pensées sont opposés aux pensées de Dieu.

Minimiser nos fautes c’est « minimiser » la sainteté de Dieu : « un petit mensonge » reste un mensonge, un acte que Dieu a en horreur.

Un autre danger nous guette : « Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal. » Ésaïe 5. 20

On cherche souvent des prétextes pour justifier que l’on puisse considérer comme « acceptable (normal) » un comportement autrefois considéré comme « mal (anormal) ».

Dieu nous laisse libres de nos choix, mais par la Bible, il rappelle à tous que nous devrons en assumer la responsabilité devant Lui. Entre autres, son verdict sur les relations sexuelles telles que la fornication, l’adultère et les relations homosexuelles est : « Pour tout cela la colère de Dieu vient (sur ceux qui désobéissent). » Colossiens 3. 6

Nos fautes nous rendent coupables et créent un « barrage » infranchissable entre Dieu et nous « car tous ont péché. » Romains 3. 23

Allons-nous en conclure que Dieu ne nous aime pas, qu’il est trop exigeant envers nous, qu’il nous surveille afin de nous punir… ?

NON ! Dieu nous aime car pour que nos péchés soient ôtés, il a sacrifié son Fils. Sur la croix, Jésus Christ a enduré le châtiment que nous méritions. Tout obstacle est ôté.

« Le médiateur entre Dieu et les hommes est un, l’homme Christ Jésus, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. » 1 Timothée 2. 5
Notre avenir dépend uniquement de notre décision

Accepter de se reconnaître coupable et pécheur, c’est le premier pas à faire. C’est ouvrir la porte de son cœur au Dieu d’amour.

« Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous pardonner nos péchés et nous purifier de toute iniquité. » 1 Jean 1. 9

Contester le verdict de Dieu, c’est s’opposer à Lui, se priver volontairement du bonheur qu’il veut nous faire partager et s’attendre malheureusement à sa condamnation.

« Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous faisons Dieu menteur et sa parole n’est pas en nous. » 1 Jean 1. 10

Dieu offre la paix, la joie et un avenir éternel à quiconque se repent et croit.

Qu’allez-vous décider ?

Publié le 30.07.2019


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